Comment avez-vous découvert le dispositif « Action Collective » et qu’est-ce qui vous a amené à l’intégrer ?

Alexandre Alain – Nous avons découvert le dispositif par l’intermédiaire de Solutions & Co qui m’a parlé de la démarche. Nous avons décidé ensuite d’intégrer ce dispositif car il allait dans le sens d’une démarche RSE que nous avions déjà engagée au sein de l’entreprise. C’est notamment en rapport aux indicateurs car nous souhaitions accentuer l’aspect « collaboration » et donc, la Qualité de Vie au Travail en faisait partie.

Qu’est-ce qui vous a intéressé dans le principe de l’action collective ?

Pierre Audureau  – L’intérêt principal, c’est l’échange avec d’autres entreprises. Ça nous a permis de nous apercevoir que peu importe le métier, on rencontre souvent les mêmes problématiques avec une manière différente d’y répondre,cela nous donne ainsi des idées.

Qu’avez-vous pensé du format de 3 sessions de 3 heures ?

Adrien Fortin  – Le format correspond très bien à nos attentes et nous permet de nous y consacrer pleinement.

AA – Il manque peut-être une dernière session bilan une fois la démarche lancée pour avoir un aperçu global de son déroulement (avant, pendant et après), par exemple 6 mois après. L’aract envisage ce bilan suite à notre demande au mois de juin prochain.

Qu’avez-vous pensé du contenu de chaque session ?

AF – Les sessions étaient plutôt claires et le fait que le contenu soit découpé en différente session permet de réduire la charge d’information et donc de mieux assimiler chaque information et aller à l’essentiel.

Qu’avez-vous déjà mis en place au sein de votre entreprise à la sortie de ces 3 sessions ? Quels chantiers avez-vous identifié ?

AA – On a mis en place le groupe COPIL qui n’existait pas avant donc les fondations sont construites. Puis, il y a déjà différentes actions qui sont en cours.

PA – Le plus gros chantier, c’est l’aménagement et rangement de nos 2 sites.

Comment avez-vous réalisé votre diagnostic ?

PA – On a commencé par un sondage oral autour d’une table. Nous avons aussi dans un second temps utilisé le jeu « les Essentiels QVT » mais globalement, les simples échanges ont été suffisants pour faire émerger les chantiers prioritaires.

La suite de l’aventure ?

AA – La suite consiste à mettre en place nos actions et de les pérenniser dans le temps. Notre objectif est ensuite de continuer dans cette démarche et poursuivre les actions d’autres chantiers QVCT.

Le conseil de l’entreprise

AF – Il ne faut pas hésiter car ce n’est que du bonus qui va à la fois dans le sens de l’entreprise mais aussi des collaborateurs. Chez nous, tout le monde était motivé pour se lancer, ce qui a favorisé la mise en marche car nous savons que cela est dans le but d’améliorer les conditions de travail.

PA – Le plus dur c’est de démarrer mais une fois que c’est lancé, on s’autorise à tester de nouvelles expériences et actions et réajuster au besoin, le principal étant de commencer par un chantier.

AA – Ce fut aussi très enrichissant pour nous de découvrir d’autres entreprises et échanger ensemble.

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