Pour l’Anact, le management du travail se concentre sur la réalisation du travail, pas sur l’individu qui s’en charge.
Comme un engrenage, le management s’articule sur 3 pivots :
➡️ La gouvernance donne le cap, la vision à moyen terme de l’entreprise. Elle s’appuie sur un dialogue social rénové, intégrant les parties prenantes (membres de la Direction, représentants du personnel, instances) pour co-construire la stratégie et faire vivre la raison d’être de la structure. Et c’est à elle qu’incombe aussi parfois l’arbitrage dans les priorités pour soutenir le travail des managers.
➡️ L’organisation rend opérationnelle les décisions et objectifs en cohérence avec la stratégie. Elle donne les moyens de mettre en oeuvre, permet d’ajuster, de réguler face aux aléas. Elle permet également d’expérimenter de nouveaux modes de fonctionnement, si le droit à l’erreur en est fondateur. Ce sont notamment les pratiques manageriales qui la font vivre.
➡️ Les pratiques managériales viennent soutenir le travail au quotidien. Elles favorisent la coopération, la subsidiarité (pas d’intervention du niveau N+1, tant que le niveau N n’en a pas besoin). Elles sont une déclinaison de la stratégie issue de la gouvernance, en mettant le travail au cœur des préoccupations.
Travailler sur la question du management pour plus de QVCT des équipes (et des managers) nécessite d’agir sur chacun des 3 pivots :
1 français sur 4 déclare avoir quitté son travail en cause du management dans son entreprise*
Le management, c’est l’affaire de toutes et tous , pas que des manageurs !
Vous aussi, vous voulez agir sur le management pour améliorer la QVCT et l’attractivité de votre entreprise ?
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*enquête sur le stress au travail réalisée par OnePoll au printemps 2018 auprès de 1000 français